Il y a quelques années, XGIMI était une marque inconnue qui débarquait dans le monde en pleine effervescence des vidéoprojecteurs à LED… Révolution en termes d’efficacité, de longévité et de réduction de coûts, la LED s’est rapidement imposée. Et désormais, XGIMI figure parmi les marques qui comptent sur le segment grâce à des produits de grande qualité et innovants.
Alors à chaque fois que j’ai l’opportunité de tester un produit de la gamme XGIMI, je saute dessus ! Et c’est donc le cas avec le XGIMI MoGo 4 qui est pour moi le plus étonnant et le plus innovant à ce jour de leurs vidéoprojecteurs à prix raisonnable.
Produits reçu gratuitement
Déballage et mise en route
Contenu de la boite
Le déballage d’un nouveau produit a toujours quelque chose d’excitant. Même lorsqu’on sait précisément ce que l’on va y trouver, il y a cette petite impatience de découvrir le produit de ses propres yeux, de sentir la qualité des matériaux et de repérer d’éventuelles surprises.
Dans le cas du XGIMI MoGo 4, pas de fioritures ni de packaging extravagant. L’approche est simple et efficace, orientée vers l’essentiel. Voici donc ce que contient la boîte :
- Le vidéoprojecteur MoGo 4, évidemment
- Une mini télécommande, pratique pour les déplacements ou les utilisations ponctuelles
- Une télécommande standard, plus complète pour un usage quotidien
- Un chargeur USB-C, standard et pratique
- Un filtre Sunset, petit accessoire pour créer une ambiance chaleureuse
- Un manuel d’utilisation
Bref, un contenu sobre, mais complet, qui permet de démarrer rapidement sans se poser de questions.
Mise en route
Fidèle à sa réputation, XGIMI privilégie la simplicité. Le MoGo 4 ne déroge pas à la règle : sa mise en route est rapide, intuitive et ne réclame aucune compétence technique particulière.
Grâce à sa batterie intégrée nul besoin de le brancher immédiatement, il suffit d’appuyer sur le bouton arrière pour l’allumer. En quelques secondes, l’interface Google TV s’affiche : fluide, claire et très ergonomique (un vrai progrès par rapport à Android TV).
La configuration se fait en un éclair : appairage de la télécommande, connexion WiFi, association de votre compte Google, choix des applis… tout est guidé pas à pas. Moins de dix minutes plus tard, vous allez pouvoir lancer votre premier film.
Autre atout hérité des modèles précédents : la mise au point automatique et la correction de trapèze. Le MoGo 4 ajuste tout seul l’image pour qu’elle soit nette et bien droite, même si l’appareil est légèrement décalé. Les plus pointilleux pourront toujours peaufiner manuellement.
Bref, une prise en main sans prise de tête qui permet de profiter du projecteur quelques minutes seulement après l’avoir sorti de la boîte.
Qualité d’image et luminosité
Je ne m’attendais pas à un résultat aussi propre pour un projecteur nomade ! Dès que la pièce n’est pas trop éclairée, l’image du MoGo 4 a tout ce qu’il faut : les couleurs sont pleines de vie, le contraste suffisamment marqué pour donner du relief, et la netteté tient très bien jusqu’à une bonne centaine de pouces. Pour un appareil qui tient dans un sac à dos, c’est franchement impressionnant.
En plein jour avec des voilages tirés :
En fin d’après-midi alors que la pièce s’assombrit :
Et le soir :
En revanche, soyons clairs : en plein jour en extérieur, l’image s’affadit. La lumière ambiante vient grignoter la luminosité de ses 450 ISO lumens et le rendu perd un peu de son éclat. Rien d’anormal — la plupart des projecteurs portables se heurtent à la même limite. Dès que la luminosité de la pièce redescend, la projection retrouve immédiatement ses couleurs et son punch.
Au quotidien, c’est donc un compromis très convaincant : on profite d’une grande image de qualité le soir, ou dans une pièce simplement un peu assombrie, sans sacrifier la portabilité. Pour moi, le MoGo 4 coche toutes les cases de la « petite séance ciné improvisée ».
ISA est toujours là !
L’un des vrais atouts du XGIMI MoGo 4, c’est sa capacité à s’adapter à chaque nouvel environnement, et c’est là que la technologie ISA (Intelligent Screen Adaptation) entre en jeu. Quand on parle d’un vidéoprojecteur portable, qu’on déplace souvent de pièce en pièce — ou même en extérieur — cette flexibilité change vraiment tout.
Le MoGo 4 est capable de corriger automatiquement le trapèze, c’est-à-dire de redresser l’image même si l’appareil est posé de travers. Et grâce à la mise au point automatique, plus besoin de tourner une molette : l’image est nette en quelques secondes, peu importe la distance ou la surface.
Mais ce n’est pas tout. Le projecteur embarque aussi une protection intelligente des yeux : dès qu’il détecte une présence devant l’objectif (en particulier un enfant curieux), il réduit la luminosité pour éviter d’éblouir. Un petit plus qui montre à quel point il est pensé pour une utilisation au quotidien.
Enfin, avec son système d’évitement des obstacles et d’alignement intelligent de l’image, le MoGo 4 repère automatiquement tout ce qui pourrait gêner la projection — comme un interrupteur ou un tableau — et ajuste l’image pour l’éviter.
Peu importe où vous l’installez, le MoGo 4 s’occupe de tout. Et c’est exactement ce qu’on attend d’un projecteur portable : qu’il soit aussi simple qu’efficace.
Un vidéoprojecteur vraiment portable et transportable
On parle souvent de projecteur nomade, mais le MoGo 4 mérite vraiment ce titre. Avec ses 1,31 kg sur la balance et son format allongé de la taille d’un gros thermos, il se glisse sans forcer dans un sac à dos ou même un tote bag. Vous n’avez qu’un chargeur USB-C à emporter « au cas où ». Idéal pour passer d’une pièce à l’autre, improviser une séance ciné chez des amis ou projeter un diaporama sur le mur blanc d’un gîte de vacances.
Autre détail qui change tout : le support 360° intégré. Une petite charnière à la base permet de relever ou d’incliner l’appareil sur pratiquement n’importe quel angle, sans devoir empiler des livres ni chercher un trépied. On pose, on oriente, on appuie sur Play – c’est tout. Pour un appareil portable, cette flexibilité est un vrai plus : on garde les mains libres et on ne passe pas trois heures à caler la machine avec des boîtes de jeu de société.
Autonomie
XGIMI annonce jusqu’à 2 h 30 de vidéo en mode Éco et environ 6 h en lecture audio seule grâce à la batterie de 71 Wh. De quoi regarder un long-métrage ou quelques épisodes de série… mais pour plus de sérénité, il est tout de même important d’avoir une solution de recharge de secours : prise de courant ou autre.
D’ailleurs, le port USB-C accepte la recharge via une batterie externe 65 W : du portable avec du portable, ça donne toujours quelque chose de portable. Pour les marathons de films ou les projections en plein air, la marque propose également la PowerBase, un socle-batterie qui se clipse sous le projecteur et double quasiment l’endurance — nous y reviendrons plus loin.
Au quotidien, cette flexibilité fait toute la différence : le MoGo 4 reste portable, autonome et toujours prêt à projeter vos films en grand dès que l’envie vous prend.
Plus qu’un vidéo projecteur, un créateur d’ambiance
Vous pensiez n’utiliser le MoGo 4 que pour vos films et vos séries ? Détrompez-vous ! XGIMI a fait de cet appareil un véritable créateur d’ambiance qui transforme n’importe quel mur en toile lumineuse : coucher de soleil romantique, halo lunaire hypnotique ou simple éclairage tamisé pour un apéro entre amis. Le projecteur devient alors une lampe d’ambiance XXL, avec lumière, couleur et même musique intégrées…
Concrètement, il suffit de clipser l’un des filtres créatifs magnétiques (on y vient juste après) pour basculer en « spectacle son et lumière ». C’est instantané : la lampe LED adapte sa colorimétrie, une petite musique d’ambiance se déclenche et vous voilà avec un décor tout prêt.
Filtre créatif magnétique XGIMI
Le côté décalé et festif du MoGo 4 passe en grande partie par ses filtres créatifs aimantés. Visuellement, on dirait de petits objectifs photo ; dans les faits, ils transforment le projecteur en générateur d’ambiances colorées, festives ou même « spatiales ».
- Vous clipsez le filtre sur l’objectif ;
- L’appli XGIMI Optical Creative Filter (à installer au premier usage) se lance automatiquement ;
- L’image se pare d’un éclairage spécifique et une musique d’ambiance démarre ;
- En passant la main devant la lentille, vous faites défiler les variations du filtre.
Un filtre « Sunset » est fourni d’office : il simule plusieurs couchers de soleil, parfait pour une soirée détente. Pour aller plus loin, XGIMI vend un pack de trois filtres additionnels à 99 € — tarif que je trouve un peu élevé (≈ 33 € le filtre), mais l’avantage, c’est qu’on ne vous oblige pas à les acheter si ça ne vous branche pas et le MoGo 4 peut très bien vivre sans !
| Pack créatif | Effet obtenu |
|---|---|
| Lunar | Sublimes clichés de pleine lune, ambiance « soirée d’éclipse » |
| Ripple | Vagues colorées ondulantes pour une atmosphère feutrée |
| Dreamscape | Nuages de couleurs rêveurs, un brin psychédéliques |
Honnêtement ? C’est un petit extra plutôt qu’un indispensable : sympathique pour épater les invités ou poser une ambiance douce en fin de soirée, mais loin d’être crucial au quotidien. L’essentiel, c’est qu’il n’enlève rien aux qualités du MoGo 4 ; libre à vous de l’utiliser quand l’envie vous prend… ou de vous en passer sans aucun regret.
Et tout le reste…
Le bruit du silence
C’est simple : on ne l’entend (pratiquement) pas.
XGIMI annonce moins de 28 dB à un mètre, et c’est exactement l’impression qu’on a : un souffle feutré, plus discret que le ventilateur d’un ordinateur portable. Dans une pièce calme, il faut vraiment tendre l’oreille pour le repérer ; dès que la piste audio du film démarre, il disparaît totalement du paysage sonore.
Le vrai confort vient du fait que le bruit reste constant ; il ne monte pas et ne descend pas brutalement. Résultat : le cerveau l’occulte rapidement, et on se concentre sur l’image. Pour un projecteur portable, c’est un atout appréciable : vous pouvez l’installer au milieu du salon, ou même sur une table basse juste devant vous, sans avoir l’impression de partager la séance avec un sèche-cheveux miniature.
Connectivité
Côté connexions, le MoGo 4 n’est pas en reste : Google Cast, HDMI, WiFi 5 et Bluetooth 5.1. En clair, vous balancez vos vidéos depuis votre téléphone en un tap grâce au Cast intégré ; la latence est minime et la qualité d’image suit sans hoqueter. Le port HDMI accepte sans broncher une console ou un stick TV, pratique pour les soirées Mario Kart ou les présentations pro.
Le WiFi 5 assure un streaming fluide en Full HD, mais pas de WiFi 6 à l’horizon : pas dramatique aujourd’hui, mais à garder en tête si votre futur réseau passe au très haut débit. Pour l’audio, le Bluetooth 5.1 permet de connecter une enceinte ou un casque sans fil en quelques secondes ; le jumelage est stable, la portée honnête. Petit manque, toutefois : aucune sortie audio filaire. Si vous préférez le bon vieux câble jack, il faudra passer par un adaptateur HDMI-ARC ou vivre sans.
Un son étonnamment ample
J’ai aussi été agréablement surpris par la partie audio. Les deux haut-parleurs Harman / Kardon de 6 W délivrent un son clair, suffisamment puissant pour remplir un salon sans saturer, et les voix restent parfaitement intelligibles même lorsque le volume monte. Les basses ne feront évidemment pas trembler le canapé comme une barre de son dédiée, mais elles ont assez de rondeur pour donner du relief aux bandes-annonces explosives ou aux sessions gaming.
En bref, pour un projecteur de 1,3 kg, le rendu est largement au-dessus de la moyenne nomade : on peut se passer d’enceinte externe tant qu’on ne cherche pas le home-cinéma « Dolby Atmos plein régime ».
Deux télécommandes pour le prix d’une !
XGIMI glisse dans la boîte deux télécommandes et c’est plutôt une bonne surprise. La première, compacte et minimaliste, tient dans la paume : parfaite si vous baladez le projecteur et que vous voulez voyager léger. Elle va droit à l’essentiel : volume, navigation, micro Google Assistant, point barre.
La seconde est une télécommande au design plus traditionnel, avec touches dédiées aux principales plateformes (YouTube, Netflix, Prime Vidéo… et même une touche de raccourci, paramétrable). La télécommande dispose également d’un rétroéclairage bien pratique dans le noir. Les boutons tombent bien sous le pouce et la prise en main est excellente pour un usage quotidien. Vous perdez la mini ? Pas de panique, il reste la grande. Vous préférez un look épuré sur la table basse ? Rangez la grande et gardez la mini. Bref, un petit bonus malin qui s’adapte à vos habitudes.
Netflix sous licence
L’un des plus gros défauts des générations précédentes d’appareil XGIMI résidait dans l’absence de licence pour Netflix. Il fallait donc ruser pour faire marcher Netflix sur votre vidéoprojecteur XGIMI.
Ce n’est désormais plus le cas, Netflix fonctionne nativement sur le MoGo 4 ! Et ça c’est vraiment appréciable.
Du coup vous pouvez retrouver toutes les plateformes habituelles comme Netflix, Amazon Prime Video, Disney+ ou encore YouTube.
Une faible latence, proche de celle d’un écran gaming
Le vidéoprojecteur XGIMI MoGo 4 offre une latence particulièrement faible, un critère essentiel pour les amateurs de jeux vidéo. En mode jeu avec la correction automatique d’image (AK) désactivée, il affiche un temps de réponse inférieur à 20 millisecondes, ce qui permet une réactivité optimale, même dans les jeux rapides ou compétitifs.
Ce niveau de performance place le MoGo 4 parmi les projecteurs portables les plus adaptés au gaming. Lorsque le mode AK (Auto Keystone) est activé — pour corriger automatiquement la distorsion trapézoïdale — la latence passe à environ 56 ms, un compromis acceptable pour les jeux plus occasionnels ou narratifs.
Support PowerBase
Parmi les accessoires particulièrement intéressants du MoGo 4, XGIMI propose un support 2 en 1 incluant une batterie 65W de 20000 mAh. Il donne ainsi à votre projecteur une autonomie de 5h en mode éco.
Ce support bien pensé ne pèse que 830g et se démonte en deux tubes de 41 cm, idéals pour un rangement facile en mode nomade.
Le PowerBase est équipé d’une entrée USB-C pour la charge et d’une sortie également USB-C afin d’être connectée au MoGo 4 pour le charger. Le vidéoprojecteur vient se clipser très facilement en haut de la tige et se défait à l’aide d’un petit bouton.
Un trépied permet de maintenir le support bien en place sur le sol. Malheureusement, la partie trépied est en plastique et semble un peu fragile.
Disponible pour 80€ si vous le prenez en pack avec le MoGo 4, le support PowerBase peut également être acheté séparément pour 129€ sur le site XGIMI.
Caractéristiques du XGIMI MoGo 4
Affichage et projection
| Type de projecteur : | Portable | |
| Technologie d’affichage : | DLP et source LED | |
| Luminosité : | 450 ISO lumens | |
| Durée de vie de la lampe : | 25 000 heures | |
| 3D : | Non | |
| Résolution standard : | 1920 x 1080 pixels | |
| Rapport de projection : | 1.2:1 | |
| Autofocus : | Oui – automatique avec ISA | |
| Correction du trapèze : | Oui – automatique avec ISA | |
| Taille de l’image : | 40” – 200” (60″ à 120″ recommandés) | |
| Méthode de projection : | Avant, arrière, plafond (avant/arrière) |
Sonorisation
| Haut-parleur : | 2 x 6W Harman/Kardon | |
| Dolby Digital : | Oui | |
| Dolby Audio : | Oui | |
| Dolby Digital Plus : | Oui |
Système
| RAM : | 2 Go | |
| Stockage : | 32 Go | |
| Affichage en miroir : | DLNA/GoogleCast | |
| Système : | Google TV |
Connexion, alimentation et dimensions
| Entrées : | USB-C (pour la charge) USB-A HDMI | |
| Sorties : | Aucun | |
| Wifi : | Wifi 5 Dual-band 2.4/5GHz, 802.11a/b/g/n/ac | |
| Bluetooth : | Bluetooth 5.1 | |
| Niveau de bruit : | < 28dB à 1m | |
| Capacité de la batterie : | 71.28Wh | |
| Autonomie : | Jusqu’à 2,5 heures d’autonomie vidéo (Mode Éco) Jusqu’à 6 heures d’autonomie musicale | |
| Taille : | 207.6 x 96.5 x 96.5 mm | |
| Poids : | 1.31 kg |
Combien ça coûte ?
- MoGo 4 seul : 599 € sur la boutique officielle XGIMI.
- Pack MoGo 4 + PowerBase : 679 € (soit 80 € de plus pour doubler l’autonomie et avoir le pied-batterie).
- PowerBase vendu séparément : 129 € – pratique si vous hésitez au départ ou souhaitez l’ajouter plus tard.
- Pack de 3 filtres créatifs magnétiques : 99 € (Lunar, Ripple, Dreamscape).
- Pour info, la version MoGo 4 Laser plus lumineuse est à 799 €, et son bundle « Laser + PowerBase + écran extérieur » culmine à 949 €.
En clair : la formule de base offre déjà un bon rapport services/prix ; le pack PowerBase ajoute un vrai plus en autonomie pour un supplément mesuré, tandis que les filtres restent un extra facultatif.
Code promo
Jusqu’au 18/08/2025, profitez d’une réduction de 10% en achetant votre MoGo 4 sur la boutique XGIMI grâce au code XGIMIM4BF1 !
Conclusion
Au final, le XGIMI MoGo 4 tient clairement sa promesse : offrir un grand écran partout, sans prise de tête. Vous le sortez du sac, vous l’allumez, il fait le point et recadre l’image tout seul, lance Google TV avec Netflix officiel, balance un son plus que correct… et vous voilà installés pour un film, une partie ou un diaporama. Certes, ses 450 ISO lumens montrent leurs limites en pleine journée et la connectique reste minimaliste, mais pour un bloc de 1,31 kg doté d’une batterie intégrée, le rapport encombrement-performances est bluffant. Si vous avez besoin de plus d’autonomie, le pack PowerBase prolonge la séance pour un surcoût raisonnable ; si vous aimez les gadgets lumineux, les filtres créatifs sont là (et rien ne vous force à les acheter).
Bref, un projecteur nomade solide, simple à vivre et déjà très complet dans sa configuration de base. Pour des soirées ciné improvisées, un usage familial ou même un peu de gaming, il coche l’essentiel tout en restant facile à transporter.
Points forts
- Format vraiment portable : 1,31 kg, pied 360 ° intégré
- Batterie intégrée (≈ 2 h 30) + recharge USB-C / PowerBase
- Image 1080p nette, couleurs vives, autofocus & trapèze automatiques (ISA)
- Ventilateur discret (< 28 dB) : quasi inaudible pendant un film
- Son Harman/Kardon 2 × 6 W clair et suffisamment puissant
- Google TV complet : Netflix, Prime Video, Disney+ et Google Cast natifs
- Deux télécommandes fournies : mini nomade + grande rétro-éclairée
Points faibles
- Luminosité limitée (450 ISO lumens) : image délavée en plein jour
- Pas de sortie audio filaire (ni mini-jack, ni optique)
- Filtres créatifs magnétiques chers et très gadgets
- WiFi 5 seulement (pas de WiFi 6 pour l’avenir)
N’hésitez pas à aller faire un tour sur nos autres tests des vidéoprojecteurs de la marque XGIMI :
